Dans la mythologie, les berserkers au sens large seraient des guerriers d'Odin, et l'équivalent vivant desEinherjar. Les berserkers combattent dans un état detranseprovoqué par l'esprit animal du guerrier (ours,loupousanglier). Cette fureur serait liée à l'animal totem de la personne. Les berserkers ne sont pas uniquement des guerriers,ils ont aussi une fonction de prêtres des dieux nordiques et particulièrement d'Odin[réf. nécessaire]. Les berserkers (tous plus de deux mètres de hauteur) étaient censés former la garde rapprochée des rois scandinaves par troupes de 12 guerriers. Certains récits et preuves archéologiques évoquent un clan nommé "Clan des fils d’Odin" prés deSkagen(Danemark) dont les squelettes des hommes mesuraient environ deux mètres.
Rémus et Romulus étaient les fils jumeaux de Réa Silvia (Rhéa Silvia) et de Mars. Réa Silvia était la fille unique de Numitor, le roi d'Albe-la-Longue.
La légende fait vibrer petits et grands...«Ils étaient trois petits enfants qui s'en allaient glaner aux champs…» Perdus dans la nuit, ils demandèrent à un boucher de les loger. A peine entrés, le boucher se précipita vers eux pour les tuer, les découper et les mettre au saloir. Sept ans plus tard, le bon Saint-Nicolas vint à passer par là. Il se rendit chez le boucher et insista pour manger le petit salé qui se trouvait dans le saloir. Pris de peur, le boucher s'enfuit et Saint-Nicolas ressuscita les trois enfants.Qui s’intéresse à la Lorraine, rencontrera très vite et partout…..Saint-Nicolas.Le Saint Patron est aimé, raconté, fêté à l’envi dans les foyers lorrains depuis le Moyen Age.La ville de Saint-Nicolas-de-Port à 15 km de Nancy, accueille une des plus belles et des plus pures basiliques de France qui abrite les reliques du saint.En Lorraine, des dizaines de rues et de portes d’octroi portent son nom. Ici, c’est un honneur de s’appeler Nicolas.On lui doit des légendes et des contes, des traditions et des miracles. Il patronne et protège d’innombrables confréries et métiers.Sa fête a lieu le 6 décembre.Les petits lorrains l’attendent avec impatience car il apporte cadeaux et friandises, comme le Père Noel et peut être même mieux que le Père Noel ! Le 5 décembre au soir, dans chaque famille, devant la cheminée, on place quelques sucres ou des carottes (pour la mule) et un petit verre de mirabelle (pour Saint-Nicolas).Il passe dans la nuit et dépose des surprises aux enfants sages –et des martinets (des fouets !) à ceux qui n’ont pas été sages. Le verre est vide et la mule a mangé ce qu’on avait prévu pour elle. C’est la fête à la maison mais aussi dans les rues et à l’école où Saint-Nicolas à la barbe blanche, avec son manteau rouge, équipé de sa crosse d’évêque, passe aussi. Il apporte des livres et du pain d’épices.Parfois, il est accompagné du Père Fouettard, beaucoup moins apprécié des enfants qui comme son nom l’indique, punit les enfants désobéissants.C’est une fête importante, attendue par tous.Des traditions et contes semblables se retrouvent en Allemagne, en Flandre….. et jusqu’en Russie qui partage d’ailleurs avec la Lorraine d’avoir Saint-Nicolas pour Patron. Il est partout le Patron des Enfants : on raconte qu’il a ressuscité trois petits enfants tués et mis au saloir par un horrible boucher. Saint-Nicolas est d’ailleurs représenté souvent avec trois enfants à ses pieds ou même encore dans un saloir et qui tendent les bras vers lui.Mais que vient faire cet évêque de Myre en Lorraine ?En 1087, le Sieur Aubert de Varangéville revenant de croisades, déroba à Bari, en Italie du sud, une relique de St Nicolas –une phalange…qui bénit- pour la rapporter en Lorraine. Il édifia au bord de la Meurthe une église pour les abriter et créa ainsi Saint-Nicolas-de-Port.Comme la relique faisait des miracles, le bourg devint un lieu de pèlerinage important ainsi qu’une étape sur la route de Compostelle.Chaque année, depuis 1245, le samedi le plus proche du 6 décembre, la basilique accueille une procession aux flambeaux autour des reliques du Saint